L’histoire de la couleur rouge

 
 

Rouge, une histoire symbolique de la couleur

Par : Léah Thomas-Bion, sémiologue

Quelle est donc l’histoire de cette couleur aux allures prestigieuses, omniprésente dans notre société? Il est probable que lorsque vous pensiez aux couleurs en général, celle qui vous vient à l’esprit est le rouge. Alors sachez que vous n’êtes pas seuls, car, pendant longtemps, en Occident, le rouge a été la seule “vraie” couleur, tant sur le plan chronologique que sur le plan hiérarchique.

Oui, le rouge est apparu très tôt. D’ailleurs on parle de peinture avant de parler de teinture. Le plus vaste ensemble de peintures actuellement connu date d’environ 33 000 ans. Le rouge y joue un rôle clé. Dans cet ensemble, et même plus tard, il s’agit presque toujours de tâches rouges. Michel Pastoureau dit alors à ce propos que le rouge “a été celle de la marque avant d’être celle de l’art”.

Aucune autre n’a joué un rôle comparable que ce soit en matière de codes sociaux, de culture matérielle ou encore de systèmes de pensée, selon le célèbre historien des couleurs.

 
 

Au sommaire :

  • Les origines du rouge

  • En Égypte

  • Culture gréco-romaine

  • La culture judéo-chrétienne


 

Origines

C’est avec le rouge que l’homme fait ses premières expériences de la couleur et de ses nuances. Pour preuve, dans certaines langues, le même mot signifie indifféremment rouge et coloré. Et, contrairement au noir et au blanc qui parfois connaissent ce sort linguistique, seul le rouge est un véritable adjectif chromatique dès le début. Cela se traduit dans la vie matérielle, sa primauté se retrouve dans la vie quotidienne à travers les étoffes, les vêtements, les parures… C’est là un point qui nous intéresse car nous allons notamment le retrouver dans les représentations et les rituels.

C’est aussi là que résident les premiers sèmes que j’associe volontiers au rouge: 

  • Le pouvoir 🥊

  • Le sacré 🙏🏼

Nous verrons donc au cours de cet article que le rouge était la couleur dominante sur les parures et même sans doute sur les visages. Cela peut être affiné, au vu de toutes les pierres précieuses que nous avons retrouvées servant à fabriquer des colliers, des amulettes etc. Si le rouge possède une telle importance, c’est vraisemblablement qu’elle possède des vertus protectrices. Ce qui est fascinant lorsqu’on étudie la couleur du rouge, c’est son voyage jusqu’à nous, cette épopée datant de plusieurs dizaines de milliers d’années. C’est donc le schéma que suivra cet article, un choix diachronique qui nous permet de constater son évolution et sa perception au fil des siècles. 

Comme nous l’évoquions plus haut, dans les différentes grottes, on voit beaucoup de marques et de peintures pariétales rouges. D’après Michel Pastoureau, ces teintes de rouge ont une triple fonction:

 
 

 Déictique : elle sert un discours

 Prophylactique : elle protège

 Esthétique : elle sublime

 
 

Nous allons beaucoup étudier cette dimension prophylactique car au travers des siècles, c’est surtout autour des sépultures que l’on retrouve des rouges.

Michel Pastoureau nous informe qu’en Egypte antique notamment, des lits d’ocre rouge sont retrouvés dans des sépultures ayant pour but de faire passer l’âme du défunt dans “l'Autre Monde”. Une fois que nous avons opéré le détour par le Paléolithique, il convient alors de se rendre au Proche Orient, des millénaires plus tard pour comprendre le rouge.

Deux axes d’analyse sont proposés par Michel Pastoureau pour comprendre la symbolique du rouge. Selon lui, cette couleur répond à deux fonctions principales: 

  • celle de représenter le feu 🔥

  • celle de représenter le sang 🩸

Ce sont deux éléments que l’on rencontre dans la plupart des sociétés en lien étroit avec le rouge.

Le feu

Le feu, en réponse à la variation de couleurs de sa flamme, car elle n’est jamais rouge naturellement mais plutôt jaune ou blanche, est considéré comme un être vivant. Pour les sociétés anciennes, le feu est la couleur de la vie. De plus, il est source de lumière et de chaleur, ainsi, il est doté d’une force de vie autonome. 

En témoignent les nombreux récits qui narrent la domestication du feu par l’homme, tant cet élément était important. Dans la mythologie grecque, on peut penser au mythe de Prométhée par exemple. Ailleurs, en Inde et en Perse, le feu possède ses temples et ses prêtres. Il est la force de vie par laquelle les hommes peuvent communiquer avec les dieux. Mais si il est favorable et purificateur, le feu possède aussi, comme tout symbole, une dimension ambivalente. Il peut donc symboliser la violence et la destruction. 

 

Le sang

Comme pour le feu, le sang permet lui aussi de communiquer avec les dieux, via le rite du sacrifice. Par ce rite du sacrifice, il a longtemps été admis que le sang était la nourriture des dieux. Eux-mêmes ne possédant pas de sang rouge par ailleurs. C’est Madeline Miller qui nous l’apprend dans son ouvrage Circé. On le découvre avec l’épisode du vol du feu par Prométhée.

Le sang des dieux est l’ichor dans la mythologie grecque et il est différent de celui des mortels car les dieux se nourrissent d’ambroisie, un nectar divin qui les rend immortels.

Le sang occupe donc une grande place dans la vie des fidèles, en Grèce, avec le culte de Mithra notamment. On sait que les sacrifices sont attestés depuis le Néolithique. C’est à partir de la civilisation hébraïque que le sang n’occupe plus cette place dans les sacrifices. C’est pourquoi, tantôt sacré, tantôt tabou, selon Michel Pastoureau, le sang peut être à la fois salvateur et fécondant ou alors périlleux et impur. 

Maintenant que nous avons pu explorer ces deux grands axes, essayons à présent d'être plus précis dans les pratiques et les usages du rouge selon les civilisations. 

 

En Égypte

Les Égyptiens, connus pour avoir inventé le bleu, transforment cependant avec brio les matières animales et végétales en pigment: à partir de la garance par exemple. Dans l’iconographie égyptienne, les personnages masculins présentent une carnation rouge. Les femmes, quant à elles, sont peintes avec un corps plus clair, presque beige. Enfin, les divinités sont dotées d’une carnation qui tire vers le jaune.

Quelle est alors la place du rouge dans cette civilisation? 

Ici, en Egypte, le rouge se rapproche du sème de la destruction que nous avons évoqué plus haut. C’est l’axe qui est exploité par cette couleur dans cette civilisation. Une raison notamment à cela: le désert. Le rouge est la couleur du désert brûlé par le soleil. Par voie de conséquence,  c’est aussi celle des peuples qui y habitent et qui en viennent. Ces peuples, à l’instar des barbares pour les romains, sont tous ennemis des égyptiens. C’est pourquoi le rouge est synonyme de violence, de guerre et même de destruction. Pour corroborer cette thèse, le rouge est aussi associé à Seth, frère destructeur d’Isis et Osiris, qui symbolise les forces du mal. Il est parfois représenté roux.

Enfin, en égyptien, un même mot peut signifier selon le contexte rougir ou mourir. On constate parfois que les scribes tracent en rouge les hiéroglyphes qui évoquent le danger.

Mais…on l’a dit, on l’a répété : un symbole est toujours ambivalent. 

À cet égard, il est bon de rappeler que le rouge est aussi présent en Egypte dans les amulettes de protection. Ces amulettes passent pour avoir été teintes du sang d’Isis, la déesse de la fécondité, elle-même parfois symbolisée par une génisse à robe rouge. Notons bien ici qu’il est fait référence à son sang, et non à une symbolique plus globale de la couleur, comme c’est le cas pour Seth. 

Nous l’avons rapidement évoqué au début de cet article mais on a trouvé dans certaines sépultures des lits d’ocre rouge. Il existe une croyance très répandue selon laquelle le mort, dans sa mort, vit ou doit vivre. C’est pourquoi il est souvent enterré avec beaucoup de matériel : c’est pour sa vie d’après. 

 

Culture gréco-romaine

Dans la culture romaine, les fleurs rouges et violacées jouent souvent le rôle de fleurs funéraires. Surtout celles qui perdent rapidement leurs pétales comme le pavot ou la violette. Elles symbolisent la brièveté de la vie. A l’opposé, une fleur qui ne se fane pas mais qui est rouge et rentre en jeu dans les représentations funéraires est l’amarante. Elle représente alors la mort sous son autre jour: le passage vers une autre vie. 

Qu’en est-il justement de la couleur rouge dans les sociétés gréco-romaines? 

Dans certains cultes romains, celui de Dionysos par exemple, le vin remplace le sang. Le sacrifice en moins, mais la couleur toujours présente. Comme nous l’avons dit, le sang n’est plus utilisé dans les sacrifices depuis les Hébreux. Les romains ont choisi le vin pour le même usage, pour autant leur palette de couleur quotidienne est toujours dominée par le rouge. On répand le vin sur l’autel, la terre, les prêtres, les fidèles, on le jette même sur le feu: rouge sur rouge. On vient ici doubler la symbolique que porte la couleur. Après tout, le vin n’est autre que le sang de la vigne. Cette omniprésence se transcrit également dans l’iconographie propre au culte de Dionysos, qui est souvent représenté avec un visage roux, et un manteau rouge. Dans son cas, le rouge est intimement lié aux notions clés de fertilité et de force vitale. Dionysos, selon certains historiens et mythologues, il est considéré comme l’émanation pure de la force vitale. 

 

Que retenir de toutes ces informations? 

Justement, ce que l’on peut retenir ici, c’est le lien opéré par toutes ces civilisations entre rouge et force vitale

On sait maintenant que chez les Grecs, la polychromie était un vaste sujet, tout était peint. C’est assez surprenant pour notre imaginaire car nous en avons aujourd’hui une image très blanche, à cause du matériau que l’on conserve:  le marbre. Si l’on se base sur les traces conservées, le rouge occupe la première place. 

Dans la société romaine, le rouge apparaît beaucoup dans les vêtements. Le rouge, mais surtout le pourpre. Le pourpre c’est une nuance de rouge singulière que l’on obtient grâce au suc d’un coquillage. Nous allons voir de quelle façon on peut le récolter, mais il est vrai que la pourpre est célèbre pour l’unique teinte de rouge qu’elle permet d’obtenir. 

 

Les étoffes teintes à la pourpre étaient les plus chères, car elles étaient signes de richesse et de pouvoir, considérées comme des trésors. Et pour cause, le pourpre était considéré comme une matière vivante et magique. En témoignent les légendes qui circulent à son sujet. Parfois on dit que c’est un chien de roi, ou de berger, qui, après avoir fouillé dans le sable marin et mordillé des coquillages, ressort le museau teint de rouge. En Phénicie, une légende circule à propos de marins qui, cherchant à extraire la chair de coquillages, auraient vu leurs doigts se teindre d’un rouge vif, comme du sang. Cette dernière légende n’est pas très éloignée de la vérité, elle nous met sur la voie de son origine. Car la pourpre est le suc produit par plusieurs coquillages que l’on trouve au bord de la Méditerranée. 

La découverte de la pourpre Un phénicien trouve grâce à son chien un coquillage (Murex) produisant la teinture rouge. Peinture au lavis de Pierre Paul (Pierre-Paul) Rubens (ou Pierre Paul ou Petrus Paulus) (1577-1640) XVIIe siècle Soleil. 0,28x0,34 m Bayon

Pourquoi la pourpre est-elle associée à la noblesse? Car les conditions pour s’en procurer sont nombreuses et plutôt contraignantes. D’abord, on ne peut la récolter qu’en automne et en hiver. De plus, le coquillage doit être pris vivant car c’est en mourant qu’il produit le fameux suc. 

Pour finir, il en faut des quantités astronomiques. Toutes ces raisons peuvent expliquer le coût élevé et l’usage qui en est fait. Les Romains, comme les Grecs avant eux, aiment donc les couleurs qui attirent le regard, les contrastes forts et la polychromie. 

 

La culture judéo-chrétienne

Après avoir exploré les mondes grecs et romains, il nous faut maintenant entrer dans le monde judéo-chrétien qui a supplanté l’imaginaire précédent.

La façon dont le christianisme des premiers siècles regarde les anciennes pratiques nous éclaire beaucoup sur sa propre façon de considérer le sang. Prudence, un auteur chrétien du 5ème siècle nous renseigne: les fidèles des cultes païens croient aux vertus purificatrices du sang de taureau, dans les cultes de Mithra notamment. D’autres auteurs chrétiens rappellent que les Grecs et les Romains considéraient autrefois comme un poison violent le sang de taureau. Plusieurs personnages se sont suicidés en buvant du sang de taureau, comme le roi Midas ou Thémistocle par exemple. C’est dire la façon dont on considère le sang, et par extension, le rouge!

Une croyance médiévale du même style est assez éclairante. En effet, à l’époque, on pensait que les résines rouges utilisées par les peintres venaient du sang de dragon, tué par un éléphant. Sans doute était-ce lié à l’existence de la résine provenant de l’arbre “dragonnier”, les branches de cet arbre font, de surcroît, penser à des serpents.

À partir de l’époque des Pères de l’Eglise, les couleurs peuvent être considérées comme abstraites, affranchies de matérialité. Ce qui a pour conséquence qu’elles peuvent être investies de davantage de symbolisme. Dans les textes sacrés, en langue originelle, on ne trouve pas vraiment d’adjectif de couleurs. C’est avec la traduction en latin et ses premiers traducteurs que la Bible se voit dotée de termes relatifs aux couleurs. On peut donc dire que la Bible se colore au fil des siècles. C’est à ce moment-là, à partir du 5e siècle, qu’une symbolique se construit: elle irriguera de nombreux domaines à une époque où toutes les disciplines sont entremêlées.

Cette nouvelle dimension symbolique doit être envisagée, pour bien faire, autour des deux grandes dimensions dont nous avons parlé: le feu et le sang, puis en quatre pôles: 

 

Rouge feu = mal (pas bien)

Il est associé aux flammes de l’enfer et au dragon de l’Apocalypse dont le corps est rouge. C’est un rouge qui triche, qui trompe, qui détruit. C’est le feu infernal, celui qui brûle mais sans éclairer. 

Rouge feu = bon (bien)

Ce même rouge feu marque l’intervention de Dieu. Il est lumière et souffle de vie, puissant et chaleureux. Rouge de l’amour divin. On peut penser aux langues de feu de la Pentecôte qui figurent Dieu.

 

Rouge sang = mal (pas bien)

Lié à tous les discours qui portent sur l’impureté: rouge du péché. Le rouge foncé. 

Rouge sang = bon (bien)

C’est évidemment celui du Christ, de la rédemption. Un rouge sang fécondant qui sanctifie et qui donne la vie. Il est plus limpide. Moins dense que celui du péché. C’est le rouge que l’on retrouve sur les bannières des Croisés par exemple. 

 

À une époque comme le Moyen Âge, on ne peut pas parler du sang  sans évoquer le Christ. Le rouge du sang ayant appartenu à Jésus-Christ à donné lieu à de nombreuses représentations car, selon Michel Pastoureau, il semble que ce sang acquiert une valeur “prophétique”. En effet, plus on avance dans le temps, plus le christianisme semble devenir une religion de rouge et de sang.

Fait intéressant par ailleurs, les auteurs dépeignent souvent le sang du Christ comme plus clair et limpide que celui des simples hommes et femmes. Symboliquement, la vie de simples gens serait faite de péchés et ainsi souillée, donc le sang se trouve foncé. On connaît également un thème iconographique pour le moins surprenant: le Pressoir Mystique! C’est un thème à la mode vers la fin du Moyen Âge.  Cela permet aux imagiers et aux peintres de mettre en scène des flots de liquide rouge.

Mais quelle en est l’origine? Un texte de l’Ancien Testament bien sûr. La terre promise aux Hébreux est assimilée à une vigne prospère! Également, deux sermons de Saint Augustin comparent le corps de Jésus supplicié à une grappe de raisin. Ces textes sont pris à la lettre mais des imagiers qui inventent l’image suivante: Jésus est à genoux sous la vis d’un grand pressoir qui l’écrase, comme un fruit, et d'où son sang s’écoule. Les fidèles et les apôtres viennent boire ce sang pour laver leurs péchés. 

On connaît aussi la popularité des paraboles qui comparent la vigne et ses éléments aux éléments de la foi des fidèles, cela n’est sans doute pas sans conséquence sur ce que l’on peut admirer dans les lieux de culte aujourd’hui. Plus tard, à partir du 16/17e siècle, c’est la figure emblématique du pape qui se vêtit de rouge… mais ça, c’est une autre histoire!

 

Après cette lecture, j’espère que vous êtes riche d’un panorama symbolique de la couleur rouge et que vous garderez désormais en tête cet héritage culturel, sans hésiter à remettre les lunettes des civilisations qui nous ont précédé, pour, un tant soit peu, s’imprégner d’autres sensibilités!

Parce qu’une couleur ne peut être séparée des autres: je conseille évidemment les ouvrages consacrés aux autres couleurs. Mais dans le cas du rouge, pour que ce soit davantage éclairant, notamment les ouvrages consacrés au blanc et au noir. Relativement à la triade originelle. 

Ainsi que le cycle de conférence produit à cette occasion, accessible sur Youtube:


Bibliographie: 

  • Gage John, Color and Culture, Practice and Meaning from Antiquity to Abstraction, Londres, 1993. 

  • Indergand Michel et  Faogot Philippe, Bibliographie de la couleur, Paris, 1984-1988, 2 volumes. 

  • Tornay ( Serge ) Voir et nommer les couleurs, Nanterre, 1978

  • Centre universitaire d’études et de recherches médiévales d’Aix en Provence, Les couleurs au Moyen Age, Aix en Provence, Les couleurs au Moyen-Age, Aix en Provence, 1988 ( Senefiance, vol.24 ) 

  • Voir ici toutes leurs fascinantes publications que l’on peut retrouver en bibliothèque ou médiathèque : https://cielam.univ-amu.fr/publications

  • Zahan Dominique, L’homme et la couleur dans Jean Poirier, dir. Histoires des Moeurs. Tome 1 : Les coordonnées de l’homme et la culture matérielle, Paris, 1990

  • Zuppiroli ( Libero ) dir. Traité des couleurs, Lausanne, 2001. 

  • Carastro ( Marcello) éd, L’antiquité en couleurs. Catégories, pratiques, représentations, Grenoble, 2008. 

  • Voir ici l’exposition L’Antiquité en couleurs, au musée gallo-romain de Tongres ( Belgique ) jusqu’en juin. Peut-être qu’un catalogue d’exposition verra le jour  : https://galloromeinsmuseum.be/fr/a-voir-a-faire/lantiquite-en-couleurs-3/ 

  • Descamp-Lequime ( Sophie ), éd., Couleur et peinture dans le monde grec antique, Paris 2004

  • Ball ( Philip ) Histoire vivante des couleurs, 5000 ans de peinture racontée par les pigments, Paris, 2005. 

  • Miller ( Madeline) Circé, 2018, Paris.

 
 
 

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Écrit par Leah Thomas-Bion

Je suis sémiologue et me spécialise dans l’étude du Moyen Âge, à la symbolique animalière et cela évolue au fil de mes formations. Je peux vous aider dans la recherche historique, littéraire et civilisationnelle afin de créer votre identité visuelle propre.”

 
 
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